Bienvenue à Prismver !
Nous sommes en 2024, dans une île autrefois surnommée le “Refuge aux Sorcières” située dans la mer du Nord. Cette île, rénovée et reconstruite en 2003 par Ruthel Prismver a été le lieu de fondation d’une nouvelle école éponyme, un pensionnat très spécial accueillant des élèves aussi spéciaux.
Si par le passé cela était un secret, en 2016 a été révélé l’existence des monomageias - ou mages - soit des individus avec un gène magique leur permettant d’avoir un don spécifique. Ainsi, le pensionnat ouvrit ses portes aux jeunes mages afin de les aider à contrôler leur pouvoir. Cela ne se fit pas que dans le calme et l’égalité : il y eut des guerres entre les classes de différents niveaux ainsi qu’entre groupes d’opinions après la Grande Révélation de la magie.
Cependant, l’école a tenu bon et redevient ce qu’elle avait toujours été : le Refuge des Sorcières.
En effet, si Prismver a connu des troubles, le reste du monde n’est pas en reste. Discriminations, violences, destructions de biens… Les mages sortis du secret deviennent victimes des non-mages obtus… et certaines révélations de pouvoir très impressionnantes n’aident en rien à calmer l’opinion publique. Bien sûr, ce n’est pas le cas partout et le pacifisme existe, résiste. Certaines villes - Salem, la Nouvelle-Orléans et Móào - sont des havres de paix pour les mages.
Le basculement se fait en 2021 lorsque les recherches sur le TRD ou Test de Révélation du Don sont relancées. Ce test révélant le gène magique n’est pas dangereux en soit mais il peut le devenir dans certains pays où il est devenu obligatoire (malgré l’interdiction de l’ONU). Comme par exemple en Chine où les mages révélés deviennent apatrides et sont exclus.
C’est là que Prismver et d’autres lieux de paix magiques interviennent, accueillant les mages du monde entier. Que ce soit des jeunes apprenant à contrôler leur don au Pensionnat ou des adultes (ré)apprenant à vivre sereinement sur l’île, tous sont les bienvenus. Pour marquer leur indépendance, en janvier 2024, l’île a été reconnue par l’ONU comme Principauté ; elle offre même la nationalité prismvérienne à qui la demanderait.